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De la neige pour une écluse

Par marc debeer • • Samedi 31/03/2007 • 3 commentaires • Lu 2707 fois •

En tant que photographe ce que j'aime outre les sujets de batellerie, c'est aussi savoir capter les ambiances, les zones de turbulences, la météo et ses variantes... rares car il faut avoir un sacré grain pour sortir par un temps pareil, ces photos de bassinées sous la neige valent leur pesant de flocons...

Et un très grand coup de chapeau aux artistes du macaron, qui EUX naviguent quelle que soit la météo , contrairement aux routiers qui bouchent les routes pour pas un kopeck... Le fluvial passe là ou les autres s'arrêtent... bel exemple de ce métier si utile à tous.

Commentaires

cordes par BaB le Samedi 31/03/2007 à 08:47

BaB Et une petite pensée tout de même à tous les matelots qui sortent à l'avant du bateau pour se farcir les amarres ;-)

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Re: cordes par Anonyme le Samedi 31/03/2007 à 14:14

exact ,montant sur l'oise de CONFLANS destination CHAMPAGNE SUR OISE avec un convoi de charbon de 180 m une vigie etait obligatoire pendant tout le trajet aussi bien avalant .

Montant ou avalant pour la traversèe du port de ROUEN ,sur les convois voiture on se mettait à l'abri dans celle ci , pas question de mettre le moteur en marche ,car il y avait le strict minimum dans le reservoir ,meme au HAVRE de L'ecluse FRANCOIS 1e jusqu'au pont du HODE et puis avalant avec une barge pour la Traversèe de PARIS de longues heures quelque soit le temps sans abri et gars au clapotis des vagues qui nous harcelaient sans cesse tenue de pluie conseillè......... un bref sujet sur les conditions de travail des pousseurs,

fluvialement et cordialement jean paul

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Re: Re: cordes par JOSIANE LE SAUX le Mercredi 04/04/2007 à 17:40

Oui, un grand coup de chapeau aux matelots qui restent dehors à l'avant par tous les temps!!! je me souviens avoir navigué avec mes parents sur le canal de Tancarville (de la raffinerie d'Orcher à l'écluse de Tancarville) avec un brouillard givrant, et ma maman en avait les cils et les sourcils gelés...mais il fallait gagner le sas pour écluser le matin.