Bord à Bord Fluvial

Je m'étonnais que personne n'ait écrit de commentaire suite à l'article de journal sur la "pilote de l'Occitania". Miette me devance de quelques heures. Nul ne remet en doute les compétences de Laurence Pourquier,mais le journaliste de" La Dépêche du Midi" a manqué d'informations sur ces femmes marinières qui ont tenu "la barre" aussi bien que leurs maris et mêmes pour certaines seules à bord car leurs époux étaient décédés (comme Alice Boulesteix) ou leurs époux partis à la guerre. Je ne citerais que Germaine Denty née Blanchet et aussi sa mère Adèle Blanchet qui menait le bateau avec ses filles. Comme l'a écrit Miette en d'autres thermes, à cette époque là, les bateaux en bois naviguaient avec des moteurs de 40 cv, avec l'hélice pratiquement hors de l'eau à vide (pas de propulseur d'étrave bien sûr), sans timonerie. Nombreuses furent ensuite toutes celles qui ont passé le permis de capacité. Je terminerais en citant une phrase de Solange Poulet retrouvée dans les archives du canal du midi : En 1781 on trouve ce commentaire à propos de "l'alliance" appartenant à Guillaume Maux de Castelnaudary : "C'est la femme qui commande, son mari étant patron de la barque de Poste de Toulouse". On retrouve aussi le nom de veuves mentionnées "patronnes de barque".
Bonsoir à tous. Excusez moi pour la longueur de mon bavardage. Suzy 







  

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