Raymonde pleure à terre et Christian la rassure « Ne pleure pas, avec l’argent de l’assurance on achètera un manège ! »…c'était bien Christian !
Mais la pâte à papier, dans l’eau, ça gonfle ! Il y a donc danger pour le bateau et il faut au plus vite le vider ; on informe « notre » coopérative à Toulouse, , gestionnaire de tous les mariniers indépendants, et quelques heures après arrivent une dizaine de mariniers qui étaient en attente d’affrètement
Et tout de suite, au travail….. avec leurs petits bras musclés et leur farouche volonté, ils déchargeront une centaine de tonnes de balles de pâte à papier.
Quelques heures après il y en a déjà plus à terre qu’à bord !
Quand à cette photo, c’est quoi ?
Une équipe du service de la navigation envoyée pour prêter main forte…. quand elle aura trouvé le moyen de venir du bon coté !
Ils n’ont pas été d’un grand secours mais reconnaissons au service de la navigation de l’époque la volonté d’aide, la compassion et la solidarité.
Miette,
Vos articles sont toujours très intéressants, et je reste en admiration devant ces mariniers qui, quoi qu’il arrive, répondent présent lorsque la situation est grave. Surtout qu’il en faut du courage (et des muscles) pour décharger un bateau « a la main ». C’est dommage, ont ne peut pas agrandir les photos, notamment celle du groupe….
A bientôt